L'emplastre de formics
Introduction
Face à la maladie, les anciens disposaient d’un ensemble de remèdes empiriques dont certains devaient être d’une efficacité toute relative si l’on en juge par l’important taux de mortalité.
Dans un contexte économique difficile, on n'appelait le médecin qu’en dernier recours.
On avait au jardin les plantes médicinales de première nécessité : lys blanc, menthe, arnica, millepertuis…
On faisait aussi souvent appel à des guérisseurs.
Ethnotexte
Jacques BOUBAL
né en 1924 à Montrozier.
Transcription
Occitan
Français
« Quand avián un mal de lèus coma disián fasián rostir un formilhièr. »
Pas de traduction pour le moment.
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Localisation
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