Introduction
Quand le caillé pressé était salé et bien pétri, on le laissait reposer (phase aérobie). Ensuite, on le mettait dans des moules (apliches, apleches) garnis d’une étoffe (plega, pliga), puis sous un pressoir appelé pesador (de pes : poids).
Ethnotexte
Louis RAYNALDY
né en 1932 à La Devèze de Tesq de Montpeyroux.
Transcription
Occitan
Français
« Fresàvem, molinàvem, la pastàvem e sarràvem al pesador. »
Pas de traduction pour le moment.
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