Lo pastre de Pascas
Introduction
La fête pascale était très suivie. En général, on étrennait un vêtement neuf. En Rouergue septentrional, lo pastre ou sac d’òsses (l'appendice du cochon rempli de petits os et cuit à la soupe) était en général consommé pour Pâques, accompagné de rejetons de chou.
Vidéo
© Institut occitan de l'Aveyron - Réalisation Amic BEDEL
Lucien ANGLADE
né en 1912 à Montpeyroux, décédé en 2003.
Transcription
Occitan
Français
« Se cosinava dos o tres meses après que lo pòrc èra estat tuat. N'i a que lo manjavan lo jorn de Pascas. Aquel qu'anava pas a la bochariá manjava lo pastre. Mès aquò èra pas una obligacion de manjar lo pastre lo jorn de Pascas. Aquò èra per aquel que anava pas a la bochariá. Aquò èra una abituda. »
Le pastre de Pâques
« Ça secuisinait deux ou trois mois après l’abattage du porc. Certains le mangeaient le jour de Pâques. Celui qui n’allait pas à la boucherie mangeait le pastre. Mais il n’était pas obligatoire de manger le pastrele jour de Pâques. C’était pour celui qui n’allait pas à la boucherie. C’était une habitude. »
« Ça secuisinait deux ou trois mois après l’abattage du porc. Certains le mangeaient le jour de Pâques. Celui qui n’allait pas à la boucherie mangeait le pastre. Mais il n’était pas obligatoire de manger le pastrele jour de Pâques. C’était pour celui qui n’allait pas à la boucherie. C’était une habitude. »
Localisation
Vous aimerez aussi...
En cours de chargement...