Cançons de missons
Introduction
Jadis, on chantait en travaillant pour se donner du cœur à l'ouvrage. Cette tradition s'est perdue et la transmission des chants ne se fait plus.
Vidéo
© Amic BEDEL - Tous droits réservés Institut occitan de l'Aveyron
Georgette FOURÈS
née Gasc en 1920 au Mas de L'Eule de Martiel.
Transcription
Occitan
Français
« Aviam un jornalièr que cantava en fa(gu)ent las traças per missonar a la missonaira-liusa, que. Alèra ieu qu'èri pichona, qu'aviái dètz, dotze ans, li voliái anar perque… Que deviái èstre emmerdenta ! Missonavi un ponhat davant mès… Enfin, deviái èstre… E cantava alèra aquò's çò que m'interessava. Mès que me'n soveni pas. De l'entendre cantar, aquò m'interessava. »
Chansons de moissons
« Nous avions un journalier qui chantait en faisant le passage pour moissonner avec la moissonneuse-lieuse, quoi. Alors moi qui étais petite, qui avais dix, douze ans, je voulais y aller car… Qu'est-ce que je devais être emmerdante ! Je moissonnais une poignée devant mais… Enfin, je devais être… Et il chantait alors c'est ce qui m'intéressait. Seulement je ne m'en souviens pas. L'entendre chanter, ça m'intéressait. »
« Nous avions un journalier qui chantait en faisant le passage pour moissonner avec la moissonneuse-lieuse, quoi. Alors moi qui étais petite, qui avais dix, douze ans, je voulais y aller car… Qu'est-ce que je devais être emmerdante ! Je moissonnais une poignée devant mais… Enfin, je devais être… Et il chantait alors c'est ce qui m'intéressait. Seulement je ne m'en souviens pas. L'entendre chanter, ça m'intéressait. »
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