Per ma fe, disiá la mameta…
Introduction
Lorsqu'un veuf (veuse, viuse) ou une veuve (veusa, viusa) se remariait, on organisait de bruyants charivaris (caravalins, carvalins, carivaris…) qui sont encore dans les mémoires.
Cette tradition offensante avait pour but de faire entendre le désaccord supposé du défunt ou de la défunte.
Des chansons étaient écrites pour la circonstance.
Celle-ci, composée à l'occasion du troisième mariage d'un homme, se chante sur l'air de "La Paimpolaise".
Son
Raymond GUIZARD
né en 1927 au Bousquet de Sébrazac.
Transcription
Occitan
Français
« Per ma fe, disiá la mameta,
Aquò n’èra un brave enfanton.
Amai que siasca la trosièma,
Farà lo bonur del tanton. »
Aquò n’èra un brave enfanton.
Amai que siasca la trosièma,
Farà lo bonur del tanton. »
Pas de traduction pour le moment.
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