Per ma fe, disiá la mameta…

Collecté en 2004 par IOA Sur les Communes de Luc, Sébrazac Voir sur la carte
J'apporte des précisions ou
je demande la traduction >

Introduction

Lorsqu'un veuf (veuse, viuse) ou une veuve (veusa, viusa) se remariait, on organisait de bruyants charivaris (caravalins, carvalins, carivaris…) qui sont encore dans les mémoires.

Cette tradition offensante avait pour but de faire entendre le désaccord supposé du défunt ou de la défunte.

Des chansons étaient écrites pour la circonstance.

Celle-ci, composée à l'occasion du troisième mariage d'un homme, se chante sur l'air de "La Paimpolaise".

Son

Raymond GUIZARD

né en 1927 au Bousquet de Sébrazac.

Transcription

Occitan
Français
« Per ma fe, disiá la mameta,
Aquò n’èra un brave enfanton.
Amai que siasca la trosièma,
Farà lo bonur del tanton. »

Pas de traduction pour le moment.

© Tous droits réservés Institut occitan de l'Aveyron

Localisation

Vous aimerez aussi...

En cours de chargement...