La cauç

Collecté en 1999 par IOA Sur les Communes de Lanuéjouls, Prévinquières, Rieupeyroux Voir sur la carte
J'apporte des précisions ou
je demande la traduction >

Introduction

Pour avoir du froment, il a fallu chauler les terres du Ségala. Avant le XXe siècle, les premiers approvisionnements en chaux (calç, cauç) se faisaient avec des chars à bœufs (carris de buòus). On s’approvisionnait aux fours à chaux (calcièrs, cauç-forns) d'Anglars, Bertholène, Flavin, Lunel, Villefranche, Villeneuve…A partir de 1902, l'arrivée de la chaux de Carmaux par le Viaduc du Viaur a permis d'intensifier et de systématiser le chaulage du Ségala. 

Le recours à la chaux semble avoir été moins important vers Rieupeyroux que sur d’autres secteurs du Ségala. Peut-être était-ce dû à l’importance de la châtaigneraie (castanhal) et de la culture de la pomme de terre (patanon) ainsi qu’à la nature des sols granitiques moins exigeants que les schistes.

Ethnotexte

Gabriel et Geneviève GRÈS

né en 1918 à Lanuéjouls ; née Fraysse en 1931 à L'Empèri de Rieupeyroux.

Transcription

Occitan
Français
« Aicí [Previnquièiras] caliá metre de cauç, d’escòri metiam un còp èra, bravament. Mès, quand voliam faire d’èrba, caliá metre de cauç. Sens aquò aquò veniá pas. »

Pas de traduction pour le moment.

© Tous droits réservés Institut occitan de l'Aveyron

Localisation

Vous aimerez aussi...

En cours de chargement...