Introduction
Le caillé était brisé puis rassemblé à l’aide de l’atraçador auquel on fixait une planchette appelée paleta.
Au fur et à mesure, on évacuait le petit-lait (gaspa) au moyen d'une coupe à poignée centrale, lo poset ou posador (de posar : puiser).
Le caillé (la calhada) était ensuite déposé sur une sorte de table basse à rebords, la sèla de cachar, pour être pressé.
En général, c'était le pastre qui pressait le caillé. Il ne fallait pas trop presser car on risquait de perdre de la matière sèche utile.
On obtenait la tome (celle de l'aligot) ou encop qu'il fallait laisser reposer avant de poursuivre le processus de fabrication de la fourme.
Ethnotexte
Aimé LIMAGNE
né en 1910 à Alcorn de Laguiole.
Transcription
Occitan
Français
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