Lo carvalin
Introduction
Lorsqu’un veuf (viuse) ou une veuve (viusa) se remariait, la jeunesse organisait de bruyants charivaris (carvalins). Cette tradition offensante avait pour but de faire entendre le désaccord supposé du défunt ou de la défunte.
Parmi les idiophones utilisés pour faire le tintamarre du charivari, la RCP Aubrac (enquête CNRS) mentionne, pour la commune de Vitrac, le tambour à friction, habituellement appelé brau en Rouergue.
Le charivari s'arrêtait généralement quand les futurs mariés payaient à boire.
Ethnotexte
Henri TEILHOL
né en 1918 à Saint-Symphorien de Thénières.
Transcription
Occitan
Français
« Quand una viusa se maridava, aquí fasián carvalin. De còps, i aviá la cabreta o l’acordeon. En principe, les fasián dintrar, lor pagavan un còp a biure e se'n anavan. »
Pas de traduction pour le moment.
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Localisation
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