Las classas d'enterrament

Collecté en 1998 par IOA Sur la Commune de La Terrisse Voir sur la carte
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Introduction

Quand quelqu'un disparaissait, on sonnait le glas (clas ou finida) et, dans certains secteurs du département, la sonnerie n'était pas la même pour un homme, une femme ou un enfant.

À la maison, on respectait quelques traditions : arrêter la pendule, fermer les volets, mettre un crêpe aux ruches, veiller le mort…

Une année de deuil, les éleveurs ne décoraient pas la vacada le 25 mai.

Les personnes qui s'occupaient du corps des défunts étaient appelées estopaires.

Le rituel des cérémonies d’enterrement dépendait de l’existence d’une confrérie de la Bonne Mort dans la paroisse ou de la classe d’enterrement choisie par la famille.

Les parodies du sacré, textes humoristiques chantés sur des airs liturgiques, n'épargnaient pas les rites mortuaires.

Ethnotexte

Michel GINISTY

né en 1945 à La Terrisse.

Transcription

Occitan
Français
« I aviá d’enterraments de premièira classa e de segonda classa.
Per la premièira classa disián :
“S’aviás pas tant manjat e tant begut,
Seriás pas aquí estendut !”
Quand aquò èra un enterrament de segonda classa, un pus paure que pagava pas tant, aquò èra de messas bassas :
“Les pius e la misèra t’an bandat !
Les pius e la misèra t’an bandat !” »

Pas de traduction pour le moment.

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