La vacada

Collecté en 1998 par IOA Sur la Commune de La Terrisse Voir sur la carte
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Introduction

Quand quelqu'un disparaissait, on sonnait le glas (clas ou finida) et, dans certains secteurs du département, la sonnerie n'était pas la même pour un homme, une femme ou un enfant.

À la maison, on respectait quelques traditions : arrêter la pendule, fermer les volets, mettre un crêpe aux ruches, veiller le mort…

Une année de deuil, les éleveurs ne décoraient pas la vacada le 25 mai.

Les personnes qui s'occupaient du corps des défunts étaient appelées estopaires.

Le rituel des cérémonies d’enterrement dépendait de l’existence d’une confrérie de la Bonne Mort dans la paroisse ou de la classe d’enterrement choisie par la famille.

Ethnotexte

André VALADIER

né en 1933 à La Terrisse.

Transcription

Occitan
Français
« Dins las bòrias, quand lo patron anava morir, fasiá lo testament e pièi recomendava l’ainat per sa darnièira volontat.
Li disiá :
“Quand veiretz que lo darnièr moment es arribat e que lo curat serà partit, atropelatz la vacada pel cortiau, portatz-me a la fenèstra e laissatz-me aquí…” »

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Localisation

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