Laurièr e candèla benesits

Collecté en 2000 Sur la Commune de La Salvetat-Peyralès Voir sur la carte
J'apporte des précisions ou
je demande la traduction >

Introduction

La maison était presque toujours placée sous la protection divine, comme en témoigne parfois une croix sculptée au-dessus de la porte d’entrée.

On se protégeait de la foudre en se signant, en invoquant les saints, en brûlant le laurier bénit, en allumant le cierge bénit ou en aspergeant d’eau bénite le seuil de la porte.

Vidéo

© Institut occitan de l'Aveyron - Réalisation Amic BEDEL

Henriette MAZARS

née Vabre en 1927 à Barraban de La Salvetat-Peyralès.

Transcription

Occitan
Français
« Quand tronava, fasián cramar de laurièr. N'i aviá qu'alucavan una candela benesida, fasián benesir de candelas e se passejavan al trast, se passejavan pertot ambe de candelas. O ai entendut dire, ieu, aquò, o ai pas vist far aquò… De candelas… Mès n'i a que pareis que se passejavan amb una candela benesida.
Ara alucam la candela quand lo lum se'n va de còps, o atapam tanplan la pila puslèu ! »
Laurier et chandelle bénits
« Quand il tonnait, ils faisaient brûler du laurier. Certains allumaient une chandelle bénite, ils faisaient bénir des chandelles et ils se promenaient au grenier, ils se promenaient partout avec des chandelles. Je l’ai entendu dire, moi, ça, je ne l’ai pas vu faire.... Des chandelles... Mais certains paraît-il se promenaient avec une chandelle bénite.
Maintenant nous allumons la chandelle quand la lumière s’en va parfois, ou aussi bien nous attrapons la lampe de poche plutôt ! »

Localisation

Vous aimerez aussi...

En cours de chargement...