Las lauradas, lo parelh vaca-femna

Collecté en 1999 Sur les Communes de La Capelle-Bleys, Rieupeyroux Voir sur la carte
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Introduction

Dans les temps anciens et sur les exploitations les plus petites, tout le travail de préparation de la terre se faisait à la main, avec des outils de jardinage (bigòs, bigòssa, marra, marron…). 

L’antique araire était d’un usage courant qui s’est maintenu jusqu’au milieu du XXe siècle. Vinrent ensuite les charrues simples (dombasles dites parfois bombaslas) et les charrues Brabant simples (brabanetas) et doubles (brabants).

L’araire appelé aussi cròc, cambeta, araire pichon ou araire ponchut servait aussi bien pour le labour que pour recouvrir la semence. On s’en est longtemps servi per enregar los patanons.

Ethnotexte

REGOURD LÉONIE, TROUCHE AGNÈS ET MOULY GERMAINE

née Mouly en 1914 à Miquels de Rieupeyroux ; née Segonds en 1916 à La Capelle-Bleys ; née Puech en 1936 à Montloubet de La Capelle-Bleys.

Transcription

Occitan
Français
« Lauravan ambe l’araire ponchut amb una vaca e, se la vaca podiá pas plan tirar, i metián la femna. »

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Localisation

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