La bugada al pesquièr

Collecté en 1999 par IOA Sur la Commune de La Capelle-Bleys Voir sur la carte
J'apporte des précisions ou
je demande la traduction >

Introduction

Certaines femmes, las lavairas, se faisaient payer pour faire la lessive (bugada) pour les autres.

Les cendres, conservées dans le cendrièr ou cendreta servaient à obtenir le lessiu pour laver le linge dans un chaudron en cuivre (pairòl). La bugada était ensuite rincée à la mare (pesquièr) ou au ruisseau (riu). On utilisait un battoir appelé batadoira. On étendait les draps (lençòls), après les avoir essorés par torsion (tòrcer), sur l'herbe ou sur une haie.

Très nombreuses sur le Ségala, les mares (pesquièrs) servaient de réserve d’eau pour l’irrigation, pour abreuver le gros bétail et pour la lessive (bugada). Elles étaient construites avec soin, à l’aide d'argile (tèrra riala, tèrrabart).

Ethnotexte

Amédée COSTES

né en 1918 à La Capelle-Bleys.

Transcription

Occitan
Français
« Los pesquièrs èran bastits e li metián de tèrrabart, batuda. Aquò teniá l’ai(g)a e las femnas li anavan lavar la bu(g)ada. »

Pas de traduction pour le moment.

© Tous droits réservés Institut occitan de l'Aveyron

Localisation

Vous aimerez aussi...

En cours de chargement...