La bòria

Collecté en 1999 par IOA Sur la Commune de La Capelle-Bleys Voir sur la carte
J'apporte des précisions ou
je demande la traduction >

Introduction

À côté de quelques grands domaines et d’exploitations moyennes, il y avait autrefois un grand nombre de petits paysans qui vivaient en polyculture sur des propriétés morcelées. Ce morcellement était dû en partie aux aléas successoraux et aux opportunités d’acquisition, mais également au souci d’utiliser au mieux la diversité des terroirs en fonction de la nature des sols et de leur exposition. 

Autour d’une dizaine d’hectares, une ferme (bòria) pouvait être viable s’il y avait un équilibre entre le nombre de bras au travail et le nombre de bouches à nourrir. Les anciens et les enfants participaient à l’effort de production.

Ethnotexte

Fernande RIGAL

née Mazenc en 1930 à Ayres de La Capelle-Bleys.

Transcription

Occitan
Français
« La bòria èra pas plan bèla. Èra estada partejada en sèt. »

Pas de traduction pour le moment.

© Tous droits réservés Institut occitan de l'Aveyron

Localisation

Vous aimerez aussi...

En cours de chargement...