Laurar un travèrs

Collecté en 1999 par IOA Sur la Commune de La Bastide-l'Évêque Voir sur la carte
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Introduction

Dans les temps anciens et sur les exploitations les plus petites, tout le travail de préparation de la terre se faisait à la main, avec des outils de jardinage (bigòs, bigòssa, marra, marron…). 

L’antique araire était d’un usage courant qui s’est maintenu jusqu’au milieu du XXe siècle. Vinrent ensuite les charrues simples (dombasles dites parfois bombaslas) et les charrues Brabant simples (brabanetas) et doubles (brabants).

L’araire appelé aussi cròc, cambeta, araire pichon ou araire ponchut servait aussi bien pour le labour que pour recouvrir la semence. On s’en est longtemps servi per enregar los patanons.

En occitan araire est masculin.

Ethnotexte

René SEGOND

né en 1934 à La Bastide-l'Evêque, décédé en 2016.

Transcription

Occitan
Français
« I a un travèrs que penja, en davalent, lauravan ambe la bombasla e apèi l’enfant tornava montar los buòus e lo pepè montava la bombasla sus l’esquina. O caliá far aquò ! »

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