La misson

Collecté en 1999 par IOA Sur la Commune de La Bastide-l'Évêque Voir sur la carte
J'apporte des précisions ou
je demande la traduction >

Introduction

Les moissons mécanisées ont succédé aux moissons avec la fauç ou lo volam autour de la Première Guerre mondiale. Il y eut tout d’abord des machines javeleuses (gavelairas), puis lieuses (ligairas). Les ouvriers agricoles ne virent pas arriver ces machines d'un très bon œil.

Souvent, le travail se faisait en chantant. 

Pour lier les gerbes à la main, on employait un ligador.

On faisait des tas (crosèls) de douze ou seize gerbes dans le champ moissonné. Ces crosèls étaient parfois ensuite disposés en petits gerbiers (garbièiras) d'une centaine de gerbes (garbas), dans le champ, avant d'être transportés pour former un grand gerbier (plonjon) près de l'aire de battage (sòl).

Ethnotexte

Fernand SEGONDS

né en 1925 à La Bessière de La Bastide-L'Evêque, décédé en 2016.

Transcription

Occitan
Français
« Metiam las garbas en garbièira. »

Pas de traduction pour le moment.

© Tous droits réservés Institut occitan de l'Aveyron

Localisation

Vous aimerez aussi...

En cours de chargement...