La cauç

Collecté en 1999 par IOA Sur les Communes de La Bastide-l'Évêque, St-Salvadou, Villefranche-de-Rouergue Voir sur la carte
J'apporte des précisions ou
je demande la traduction >

Introduction

Pour avoir du froment, il a fallu chauler les terres du Ségala. Avant le XXe siècle, les premiers approvisionnements en chaux (calç, cauç) se faisaient avec des chars à bœufs (carris de buòus). On s’approvisionnait aux fours à chaux (calcièrs, cauç-forns) d'Anglars, Bertholène, Flavin, Lunel, Villefranche, Villeneuve…A partir de 1902, l'arrivée de la chaux de Carmaux par le Viaduc du Viaur a permis d'intensifier et de systématiser le chaulage du Ségala. 

Le recours à la chaux semble avoir été moins important vers Rieupeyroux que sur d’autres secteurs du Ségala. Peut-être était-ce dû à l’importance de la châtaigneraie (castanhal) et de la culture de la pomme de terre (patanon) ainsi qu’à la nature des sols granitiques moins exigeants que les schistes.

Ethnotexte

Séraphin et Odile MARRE

né en 1913 à Saint-Salvadou, décédé en 2013 ; née Lacassagne en 1919 à Cabanes de La Bastide-l'Evêque, décédée en 2014.

Transcription

Occitan
Français
« Prenián una carru(g)a, anavan cargar una carrada de cauç a La Vila e tornavan montar tota la nèch. Metián aquò dins lo camp e, per l’espandir, la caliá escantir perque èra pas que de pèiras. Li caliá metre d’ai(g)a, aquò caufava. »

Pas de traduction pour le moment.

© Tous droits réservés Institut occitan de l'Aveyron

Localisation

Vous aimerez aussi...

En cours de chargement...