La trève del cementèri d'Uparlac

Collecté en 2000 par IOA Sur la Commune de Huparlac Voir sur la carte
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Introduction

Les anciens se souvenaient des peurs (paurs, pors) dont parlaient leurs grands-parents.

Les trèvas ou trèves sont des revenants qui se manifestaient de diverses manières afin de contraindre les héritiers à faire dire des messes pour le repos de l'âme du défunt.

Cette croyance était très répandue jusqu'au début du XXe siècle.

Pour faire cesser ces phénomènes, on faisait appel au curé.

De même, la tradition orale rapporte que les croix implantées dans les campagnes et la sonnerie de l'angélus chassaient les trèvas.

Quelquefois, une fausse trèva est démasquée par un paroissien plus courageux que les autres. Ce récit de l'arroseur arrosé est très répandu. Nous l'avons collecté à de nombreuses reprises en Aveyron. Et parfois, la fausse trèva ne survit pas à ses blessures.

Ethnotexte

Odette GINESTON

née Valenq en 1932 aux Bessières d'Huparlac, décédée en 2004.

Transcription

Occitan
Français
« I aviá de trèves al cementèri vièlh d’Uparlac, que aquò èra un vailet que èra a-n-acò de Jalabèrt, qu’apelavan dins lo temps, que lor fasiá por. Metiá un lençòl sul cap. »

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