Introduction
Face à la maladie, les anciens disposaient d’un ensemble de remèdes empiriques dont certains devaient être d’une efficacité relative si l’on en juge par l’important taux de mortalité.
On avait au jardin les plantes médicinales de première nécessité : lys blanc, menthe, arnica…
Pour un mau de costat, dans la famille de Marie-Thérèse, on utilisait de l'avoine chaude. Mais, pour soigner cette maladie et aussi la méningite, il existait un remède barbare consistant à ouvrir un chat ou un pigeon vivant pour le poser sur le corps du malade.
Ethnotexte
Marie-Thérèse LONG
née Prat en 1944 à Mourmentrès de Graissac.
Transcription
Occitan
Français
« Metián de civada calda sul costat. »
Pas de traduction pour le moment.
© Tous droits réservés Institut occitan de l'Aveyron
Localisation
Vous aimerez aussi...
En cours de chargement...