Iste confessor…

Collecté en 1994 par CORDAE Sur les Communes de Golinhac, Sébrazac Voir sur la carte
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Introduction

Euphrasie Farrenq nous donne là une très belle parodie du sacré dont la version liturgique en latin se chantait à Sébrazac au moment où le prêtre s'apprêtait à embraser le feu de Saint Jean, lo radal de Sent-Jan.

Dans le but d'ériger le bûcher, les jeunes gens se rendaient de maison en maison pour recueillir des bûches et des fagots. L'un d'entre-eux était particulièrement chargé de bâtir le bûcher.

Le soir, à la tombée de la nuit, les cloches carillonnaient et le prêtre venait bénir le feu.

Les cendres du radal détenaient des vertus prophylactiques. À Saint-Rame (commune de Golinhac), les cendres du radal, qu'on ne manquait jamais d'allumer dans la moindre exploitation, étaient ensuite soigneusement ramassées et répandues sur les chemins qu'empruntaient les brebis toute l'année afin de les préserver de la garrelièira. (CORDAE)

Son

Euphrasie FARRENQ

née Baules en 1900 à Sébrazac.

Transcription

Occitan
Français
« Iste confessor,
La femna devoesosa,
Tuèt una pola,
La metèt a l’ola.

La filha l’ainada,
Qu’èra pas maridada,
La li mangèt tota,
Adiu la pola ! »

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