Les boriaires

Collecté en 2000 par IOA Sur la Commune de Florentin-La Capelle Voir sur la carte
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Introduction

À côté de quelques grands domaines et d’exploitations moyennes, il y avait autrefois un grand nombre de petits paysans qui vivaient en polyculture sur des propriétés morcelées.

Ce morcellement était dû en partie aux aléas successoraux et aux opportunités d’acquisition, mais également au souci d’utiliser au mieux la diversité des terroirs en fonction de la nature des sols et de leur exposition.

Quand on n'avait pas assez de terres, on pouvait trouver un complément de revenu en exerçant un métier ou en se louant. On pouvait aussi prendre une exploitation en fermage.

Ceux qui n'avaient pas de bétail de trait travaillaient à la main, avec des outils rudimentaires.

Autour d’une dizaine d’hectares, une ferme (bòria) pouvait être viable s’il y avait un équilibre entre le nombre de bras au travail et le nombre de bouches à nourrir.

Les anciens et les enfants participaient à l’effort de production.

Ethnotexte

Henri ROUQUETTE

né en 1926 à La Capelle de Florentin-La Capelle.

Transcription

Occitan
Français
« Les parents èran boriaires a Olhars [Florentinh].Lo fermatge, aquò èra del 25 de març al 25 de març. »

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