La vilhada

Collecté en 1998 par IOA Sur les Communes de Espeyrac, Lacalm Voir sur la carte
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Introduction

Quand quelqu'un disparaissait, on sonnait le glas (clas ou finida) et, dans certains secteurs du département, la sonnerie n'était pas la même pour un homme, une femme ou un enfant.

À la maison, on respectait quelques traditions : arrêter la pendule, fermer les volets, mettre un crêpe aux ruches, veiller le mort…

Une année de deuil, les éleveurs ne décoraient pas la vacada le 25 mai.

Les personnes qui s'occupaient du corps des défunts étaient appelées estopaires.

Le rituel des cérémonies d’enterrement dépendait de l’existence d’une confrérie de la Bonne Mort dans la paroisse ou de la classe d’enterrement choisie par la famille.

Ethnotexte

Marie-Louise SEPTFONS

née Viala en 1916 à Espeyrac.

Transcription

Occitan
Français

« Anavan passar la nuèch, vilhavan. »

« Ils allaient passer la nuit, ils veillaient. »

© Tous droits réservés Institut occitan de l'Aveyron

Localisation

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