Embucar

Collecté en 1998 par IOA Sur les Communes de Druelle, Pradinas Voir sur la carte
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Introduction

La maîtresse de maison, la patrona, régnait sur le potager (òrt) et la basse-cour qui permettaient de couvrir une bonne partie des besoins alimentaires. Les excédents vendus au marché lui procuraient un peu d’argent pour les besoins de la famille. 

Les confits d’oie (quartièrs d'auca) ou de canard (rit) permettaient à la maîtresse de maison d’accueillir convenablement ses invités en préparant rapidement un mets de choix. 

On gavait (embucar) les oies avec du maïs (milh). Pour ce faire, on utilisait une sorte d'entonnoir (embuc) et une cheville en bois (cavilha de boès).

Ethnotexte

Fernand et Juliette FERRAND

né en 1911 à L'Hospitalet de Druelle ; née Mazars en 1918 à L'Hospitalet de Druelle.

Transcription

Occitan
Français

« Embucàvem ambe de milh e la cavilha. La miá mamà a ben totjorn fach aital. »

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