Lo sòu

Collecté en 2001 par IOA Sur la Commune de Curières Voir sur la carte
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Introduction

Les équipes (còlas) de moissonneurs travaillaient en cadence, en chantant, et les gavelairas qui les suivaient leur répondaient.

Les faucheurs avaient eux-aussi des chants de travail.

Les moissons mécanisées ont succédé aux moissons avec la fauç ou lo volam autour de la Première Guerre mondiale. Il y eut tout d’abord des machines gavelairas, puis des ligairas.

On faisait des tas de douze gerbes (crosèls) dans le champ moissonné. Ces crosèls étaient ensuite disposés en petits gerbiers (plonjons) d'une centaine de gerbes (garbas), dans le champ, avant d'être transportés pour former un grand gerbier près de l'aire de battage (sòl, sòu).

En Rouergue septentrional s'opère souvent une vocalisation du "l" en "u" : ostal / ostau, sòl / sòu…

Ethnotexte

Jean CHARDAIRE

né en 1939 au Puech-Haut de Curières.

Transcription

Occitan
Français
« Lo sòu, aquò's d’ont l’òm fasiá les plonjons de garbas. »

Pas de traduction pour le moment.

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Localisation

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