Los remèdis vièlhs

Collecté en 1994 par IOA Sur la Commune de Crespin Voir sur la carte
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Introduction

Face à la maladie, les anciens disposaient d’un ensemble de remèdes empiriques dont certains devaient être d’une efficacité toute relative si l’on en juge par l’important taux de mortalité. 

Dans un contexte économique difficile, on n'appelait le médecin qu’en dernier recours.

On avait au jardin les plantes médicinales de première nécessité : lys blanc, menthe, arnica, millepertuis…

La fleur de sureau (sòi, saüc, sambuc) soignait le rhume (raumàs) et celle du buisson blanc les angines, lo mal de còl.

On se lavait les yeux (uèlhs) avec de la camomille.

Ethnotexte

Michèle DELBRUEL

née en 1931 à Belmont de Crespin.

Transcription

Occitan
Français
« Sabi que la memè amassava bravament per far de tisanas.
I aviá la flor de saüc, al trast amont, ne secava.
La flor del boisson blanc fasiá partir lo mal de còl.
La camomilha èra pels uèlhs.
Un còp, lo medecin diguèt a la memè de far de lach de pola. »

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