Los remèdis vièlhs

Collecté en 1994 par IOA Sur la Commune de Crespin Voir sur la carte
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Introduction

Face à la maladie, les anciens disposaient d’un ensemble de remèdes empiriques dont certains devaient être d’une efficacité toute relative si l’on en juge par l’important taux de mortalité. 

Dans un contexte économique difficile, on n'appelait le médecin qu’en dernier recours.

On avait au jardin les plantes médicinales de première nécessité : lys blanc, menthe, arnica, millepertuis…

On utilisait les fleurs ou les feuilles de lis blanc (liri, lire), que l'on conservait dans de l'huile (òli) ou de l'eau de vie (aigardent), pour soigner les coups (pics), les plaies (plagas, talhadas) ou les brûlures (brutladuras).

La fleur de sureau (sòi, saüc, sambuc) soignait le rhume (raumàs).

Ethnotexte

Odette VAYSSE

née Delbruel en 1933 à La Tournarie de Crespin.

Transcription

Occitan
Français
« Fasiam de lis blanc dins d'aigardent e lo metiam sus una plaga.
La flor de saüc èra per far desconflar quand quauqu'un aviá atrapat un pic.
Pièi la paura mameta amassava la fuèlha de fraisse per far de tisanas. Aviá de gost. »

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