Lo torn e la conolha

Collecté en 1998 par IOA Sur la Commune de Condom-d'Aubrac Voir sur la carte
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Introduction

Le linge était en général produit sur place avec la laine des brebis (lana de las fedas), ou avec des fibres végétales, le chanvre (cambi, cambe) et le lin.

On réservait à la culture du chanvre une parcelle de bonne terre appelée canabièira. Ces terres, fines et faciles à travailler, étaient souvent à proximité de l’eau. Elles sont généralement devenues des jardins potagers.

On broyait les végétaux avec des bargas appelées aussi bergadoiras ou bargadoiras. Ensuite, on les peignait avec un grand peigne en bois hérissé de piques (una penche de cardaire).

On filait à la quenouille (conolha) et au fuseau (fuse) ou au rouet (torn).

Il y avait des ateliers de tisserands (teissedres, teisseires, teissièrs) dans presque tous les villages.

Ethnotexte

Augusta CARABASSE

née Gasq en 1923 à Paris (75).

Transcription

Occitan
Français
« Ère jove, ches la grand-maire, n’i aviá un torn. Ela fialava e ieu m’amusave a fialar ambe la conolha. Lo torn, i aviá una granda ròda amb una canal, metiam lo fuse e tornejàvem. »

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Localisation

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