Las polas, les lapins e l'òrt al masuc
Introduction
On montait quelques volailles et un couple de lapins et on cultivait des poireaux, des salades et des choux pour avoir quelques légumes verts.
Vidéo
© Amic BEDEL - Tous droits réservés Institut occitan de l'Aveyron
AMAT JOSEPH ET GUICHARD JEAN
né en 1917 à Born ; né en 1927 à Salgues.
Transcription
Occitan
Français
« N'aviam pas de quantitats, quatre o cinc, dos o tres lapins. Pièi, quand montàvem, aviam un bocin d'òrt. Lo caliá trabalhar, plantar quauques pòrres empr'aquí e d'ensaladas, e quauques trufes, quoi.
– Los lapins s'avidavan totes sols. I aviá coma un aqueduc e aquò èra l'afaire… Manjavan per la montanha, los lapins. Costavan pas a sonhar. Manjavan totes sols. »
– Los lapins s'avidavan totes sols. I aviá coma un aqueduc e aquò èra l'afaire… Manjavan per la montanha, los lapins. Costavan pas a sonhar. Manjavan totes sols. »
Les poules, les lapins et le potager au masuc
« Nous n’en avions pas des quantités, quatre ou cinq, deux ou trois lapins. Puis, quand nous montions, nous avions un petit potager. Il fallait le travailler, planter quelques poireaux par là et des salades, et quelques pommes de terre, quoi.
– Les lapins se nourrissaient tout seuls. Il y avait comme un aqueduc et c’était l’affaire... Ils mangeaient sur la montagne, les lapins. Ils ne coûtaient rien. Ils mangeaient tout seuls. »
« Nous n’en avions pas des quantités, quatre ou cinq, deux ou trois lapins. Puis, quand nous montions, nous avions un petit potager. Il fallait le travailler, planter quelques poireaux par là et des salades, et quelques pommes de terre, quoi.
– Les lapins se nourrissaient tout seuls. Il y avait comme un aqueduc et c’était l’affaire... Ils mangeaient sur la montagne, les lapins. Ils ne coûtaient rien. Ils mangeaient tout seuls. »
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