La venda del vin
Introduction
Le Bassin de Decazeville représentait un marché important pour le vin de Marcillac.
Vidéo
© Institut occitan de l'Aveyron - Réalisation Amic BEDEL
Fernand CABROLIER
né en 1925 à Valadou de Clairvaux.
Transcription
Occitan
Français
« A… ne fasiái aquí cent trenta ectòs e n'aviái pas pro parce que fasiái de bon vin quand mèmes, sans me vantar, quoi… Ère conegut. N'aviái pas pro m'enfin, quand n'i aviá pas plus, arrestave. Tornavan quand mèmes los clients. Ah oui romplissiái aquelses tonèls que lo d'aquí ten trenta sèt e lo d'aquí trenta dos. E pièi de barricas atanben. Mès n'aviái maitas mès que n'ai demolidas. En dinca cent trenta, cent quaranta ectòs, fasiái. E ara pas res, pas un litre ara… »
La vente du vin
« Ah... j’en faisais là cent trente hectos et je n’en avais pas assez parce que je faisais du bon vin quand même, sans me vanter, quoi... J’étais connu. Je n’en avais pas assez mais enfin, quand il n’y en avait plus j’arrêtais. Ils revenaient quand même, les clients. Ah oui, je remplissais ces tonneaux, celui-là contient trente-sept et celui-là trente-deux. Et puis des barriques aussi. Mais j’en avais plus mais j’en ai démoli. Jusqu’à cent trente, cent quarante hectos, je faisais. Et maintenant rien, pas un litre maintenant... »
« Ah... j’en faisais là cent trente hectos et je n’en avais pas assez parce que je faisais du bon vin quand même, sans me vanter, quoi... J’étais connu. Je n’en avais pas assez mais enfin, quand il n’y en avait plus j’arrêtais. Ils revenaient quand même, les clients. Ah oui, je remplissais ces tonneaux, celui-là contient trente-sept et celui-là trente-deux. Et puis des barriques aussi. Mais j’en avais plus mais j’en ai démoli. Jusqu’à cent trente, cent quarante hectos, je faisais. Et maintenant rien, pas un litre maintenant... »
Localisation
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