L'aigardent

Collecté en 1997 par IOA Sur la Commune de Castelnau Pégayrols Voir sur la carte
J'apporte des précisions ou
je demande la traduction >

Introduction

Face à la maladie, les anciens disposaient d’un ensemble de remèdes empiriques dont certains devaient être d’une efficacité toute relative si l’on en juge par l’important taux de mortalité.

Dans un contexte économique difficile, on n'appelait le médecin qu'en dernier recours. On avait au jardin les plantes médicinales de première nécessité : lis blanc, menthe, arnica, millepertuis…

Les remèdes étaient parfois surprenants...

Ethnotexte

Emile BALARD

né en 1914 au Théron de Castelnau-Pégayrols.

Transcription

Occitan
Français
« Lo fraire, lo nòuième medecin que fasián prevenir diguèt als enfants :
“Fasètz de cafè plan fòrt e donatz-i d’aigardent, tant que ne volrà biure. Tornarai dins dos jorns, mès pense pas que n’age besonh...”
Aquò èra d’aigardent a 90°.
Lo gariguèron coma aquò. Venguèt a quatre-vint dos ans. »

Pas de traduction pour le moment.

© Tous droits réservés Institut occitan de l'Aveyron

Localisation

Vous aimerez aussi...

En cours de chargement...