Lo parelh de vacas

Collecté en 1998 par IOA Sur les Communes de Castelnau-de-Mandailles, St-Chély-d'Aubrac Voir sur la carte
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Introduction

Les veaux de pure race d’Aubrac qui redescendaient de l’estive âgés de sept à neuf mois étaient des borruts. N’ayant que peu tété leur mère, ils n’étaient pas très lourds.

Entre un et deux ans, on les appelait borrets ou borretas, à deux ans doblons ou doblonas et enfin, à trois ans, les treçons châtrés (sanats, asegats) étaient destinés au dressage pour le travail. Dresser se dit dondar ou adondar et joindre jónger.

Le taureau est le brau, le bœuf le buòu (une paire de bœufs : un parelh de buòus).

Quand on n’avait pas les moyens d’avoir un parelh de buòus, on utilisait des vaches.

On commençait par joindre un jeune animal avec un bœuf expérimenté.

La vente des bœufs de travail était très lucrative. L'arrivée des tracteurs, après le second conflit mondial, mit un terme à ce marché.

Ethnotexte

Marcel BESOMBES

né en 1922 à Castelnau de Mandailles.

Transcription

Occitan
Français
« Naltres, aviam pas que de vacas per trabalhar. »

Pas de traduction pour le moment.

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Localisation

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