La pèira de Cantamessa

Collecté en 1998 par IOA Sur les Communes de Castelnau-de-Mandailles, Condom-d'Aubrac, Espalion Voir sur la carte
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Introduction

De tout temps, on a prêté aux pierres particulières – haches de pierre polie, nodules, météorites – des vertus protectrices ou curatives.

Il existe encore quelques-unes de ces pierres sur le canton de Saint-Chély d’Aubrac.

Leur origine reste entourée de mystère. Ont-elles été achetées dans les temps anciens à des camelots ? Se sont-elles transmises de génération en génération depuis des temps immémoriaux ? Ont-elles été rapportées de lointaines contrées par quelque missionnaire ou quelque aventurier ?

Quoi qu’il en soit, chaque pierre est différente des autres par sa forme, sa taille et sa couleur. Chacune a son histoire propre et une fonction bien établie.

Outre les pèiras de veren qui guérissent les piqûres d’insectes ou les morsures de vipères, il existe aussi des pèiras pels uèlhs qui enlèvent les poussières sous les paupières.

Ethnotexte

(Marie-)Thérèse VAYSSADE

née en 1914 à Castelnau de Mandailles.

Transcription

Occitan
Français
« Quand lo monde avián atapada una verenada, que se fasián veire ambe de botons o una enflura, anavan quèrre la pèira del veren a Cantamessa.
Me sembla qu’ai entendut dire que èra estada portada de las crosadas al convent de Bonaval e èra estada donada a de monde de Cantamessa per los recompensar de lors bons services.
Començavan de la passar sus la plaga e pièi la metián a trempar dins un farrat d’ai(g)a e, sus la pèira, vesián la bèstia qu’aviá facha la verenada, un grapald, una sèrp, una blandre… »

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