Lo ligador
Introduction
Les équipes (còlas) de moissonneurs travaillaient en cadence, en chantant, et les gavelairas qui les suivaient leur répondaient.
Les faucheurs avaient eux-aussi des chants de travail.
Les moissons mécanisées ont succédé aux moissons avec la fauç ou lo volam autour de la Première Guerre mondiale. Il y eut tout d’abord des machines gavelairas, puis des ligairas.
Quand on liait les gerbes à la main, on employait un ligador.
Ethnotexte
Jean-Louis MARINNES
né en 1922 à Laguiole.
Transcription
Occitan
Français
« Comptàvem cent garbas a l’ora al li(g)ador. N’i aviá un que ne fasiá cent-vint.Totjorn cantava e estiflava. »
Pas de traduction pour le moment.
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