Las plantas medicinalas
Collecté en 1998 par IOA Sur les Communes de Cassagnes-Bégonhès, Sauveterre-de-Rouergue Voir sur la carte
Introduction
Face à la maladie, les anciens disposaient d’un ensemble de remèdes empiriques dont certains devaient être d’une efficacité toute relative si l’on en juge par l’important taux de mortalité.
Dans un contexte économique difficile, on n'appelait le médecin qu’en dernier recours.
On avait au jardin les plantes médicinales de première nécessité : lys blanc, menthe, arnica, millepertuis…
On faisait aussi souvent appel à des guérisseurs.
Ethnotexte
André DAURES
né en 1916 à Céor de Cassagnes-Bégonhès.
Transcription
Occitan
Français
« La sàuvia èra lo remèdi per tot.
Lo curat, dins l’òrt, a tot, a pas besonh de veire lo medecin. »Pas de traduction pour le moment.
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Localisation
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