Pendent la guèrra

Collecté en 1998 par IOA Sur la Commune de Cantoin Voir sur la carte
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Introduction

En général, on attendait la fin de la mouture pour reprendre la farine du grain que l'on avait apporté au moulin, mais certains revenaient chercher leur farine le lendemain ou plus tard.

On y allait pour faire moudre la farine, mais aussi pour faire écraser et presser les noix ou les pommes dont on faisait de l’huile ou du cidre.

Certains ont conservé l’essentiel de leur équipement jusqu’à nos jours.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, on allait au moulin la nuit.

Ethnotexte

Léon BORS

né en 1922 à Paris (75).

Transcription

Occitan
Français
« Pendent la guèrra, portàvem lo blat negre a mòldre la nuèch amb un sac de vint quilòs sus l’esquina e, aquel òme que s’apelava Mossur Girbal nos moliá lo gran.
I aviá un moet a Cantoènh mès sonca aicí èra mai a la vista e i anàvem pas. »

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Localisation

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