Lo carvalin
Introduction
Lorsqu’un veuf (viuse) ou une veuve (viusa) se remariait, la jeunesse organisait de bruyants charivaris (carvalins). Cette tradition offensante avait pour but de faire entendre le désaccord supposé du défunt ou de la défunte.
Parmi les idiophones utilisés pour faire le tintamarre du charivari, la RCP Aubrac (enquête CNRS) mentionne, pour la commune de Vitrac, le tambour à friction, habituellement appelé brau en Rouergue.
Le charivari s'arrêtait généralement quand les futurs mariés payaient à boire.
Ethnotexte
Jeanne CHAUDIÈRES
née Bes en 1925 à Vergnoles de Sainte-Geneviève.
Transcription
Occitan
Français
« Anavan far de bruch quand un viuse se tornava maridar. Li anavan far carvalin, que disián. Anavan davant chas el amb una dalha, de caçairòlas per tustar, far de bruch, per se far pagar un còp per biure. Se lo monde o prenián bien, pagavan quicòm. »
Pas de traduction pour le moment.
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Localisation
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