La finida

Collecté en 1998 par IOA Sur la Commune de Cantoin Voir sur la carte
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Introduction

Quand quelqu'un disparaissait, on sonnait le glas (clas ou finida) et, dans certains secteurs du département, la sonnerie n'était pas la même pour un homme, une femme ou un enfant.

À la maison, on respectait quelques traditions : arrêter la pendule, fermer les volets, mettre un crêpe aux ruches, veiller le mort…

Une année de deuil, les éleveurs ne décoraient pas la vacada le 25 mai.

Les personnes qui s'occupaient du corps des défunts étaient appelées estopaires.

Le rituel des cérémonies d’enterrement dépendait de l’existence d’une confrérie de la Bonne Mort dans la paroisse ou de la classe d’enterrement choisie par la famille.

Ethnotexte

Jean et Juliette SÉGUIS

né en 1923 à Paris (75) ; née Poulhès en 1926 à Cantoinet.

Transcription

Occitan
Français
« Sonavan après l’angèlus del matin, a nòu oras, après l’angèlus de miègjorn, a tres oras, e après l’angèlus del seras.
Lo premièr còp, apelavan aquò la finida.
Tanlèu que sabián que qualqu’un èra mòrt, la campanièira montava al cloquièr e sonava la finida.
Aquò èra vint, vint-a-cinc còps sus la campana pichona.
Aquò s’acabava pel clas.
Aquò se sabiá atau. »

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