Vint-a-sèt ectaras

Collecté en 2000 par IOA Sur les Communes de Campouriez, Huparlac Voir sur la carte
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Introduction

À côté de quelques grands domaines et d’exploitations moyennes, il y avait autrefois un grand nombre de petits paysans qui vivaient en polyculture sur des propriétés morcelées.

Ce morcellement était dû en partie aux aléas successoraux et aux opportunités d’acquisition, mais également au souci d’utiliser au mieux la diversité des terroirs en fonction de la nature des sols et de leur exposition.

Quand on n'avait pas assez de terres, on pouvait trouver un complément de revenu en exerçant un métier ou en se louant.

Ceux qui n'avaient pas de bétail de trait travaillaient à la main, avec des outils rudimentaires.

Autour d’une dizaine d’hectares, une ferme (bòria) pouvait être viable s’il y avait un équilibre entre le nombre de bras au travail et le nombre de bouches à nourrir.

Les anciens et les enfants participaient à l’effort de production.

En Rouergue septentrional, le plus grand rapport venait de l'élevage bovin.

Ethnotexte

Louise RECOUSSINES

née en 1921 à La Combe de Campouriez.

Transcription

Occitan
Français
« Aviam una pichòta bòria que èra bien polida d’aquel moment, vint-a-sèt ectaras. Fasián l’elevatge del bestiau, montavan de vacas a la montanha. Aquò se fasiá dins lo temps. E pièi fasián un bocin de tot : de trefons, de topinambors, amassavan las castanhas… »

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Localisation

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