L'òli de nose

Collecté en 2000 par IOA Sur les Communes de Campouriez, Huparlac, Soulages-Bonneval Voir sur la carte
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Introduction

Le noyer (noguièr) était présent au-dessus de la limite du châtaignier (castanhièr) mais sa rareté obligeait les Montanhòls à faire de l’òli de noisette (auglana) ou de faine (feina).

Pendant longtemps la noix a fourni au Rouergue l’essentiel de l’huile (òli) qui était utilisée pour la cuisine en temps de Carême, ou pour l’éclairage dans les lampes à huile (calelhs).

La plupart des moulins possédaient un ase (ou vertelh) pour écraser les noix.

On organisait des veillées (velhadas) pour casser les noix (desnogalhar).

En occitan, le nom òli est masculin.

Ethnotexte

André et Marie-Thérèse COMBETTES

né en 1928 à Authun d'Huparlac ; née Cassagnes-Gourdon en 1930 à Soulages-Bonneval.

Transcription

Occitan
Français
« [D’Uparlac], anàvem far l’òli a Camporiés. »

Pas de traduction pour le moment.

© Tous droits réservés Institut occitan de l'Aveyron

Localisation

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