Deux hommes se chauffant au coin du feu (canton), à La Maurélie, 1957

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Introduction

Deux hommes se chauffant au coin du feu (canton), à La Maurélie, 1957

Louis Maraval, Félix Castagnier

« Les veillées entre voisins étaient très fréquentes. On bavardait, on bricolait, parfois on dansait. C’était une ambiance que l’on ne trouve plus aujourd’hui. (A l’époque, on n’avait pas la télé…)
“Pour casser les noix, à la veillée, on s’invitait entre voisins à tour de rôle. On travaillait en bavardant et en racontant des histoires ; parfois la soirée se terminait en musique… Souvent on bricolait : on faisait des paniers, on rempaillait les chaises, on cassait les noix…” » (Extrait de “Avant… Comment vivaient-ils ?”, d’après Mireille Peret à partir des témoignages de Rosa Paquier et Jean Teyssèdre, dans Florentin se souvient)
« On enlevait les cerneaux des noix jusque vers 10 h 30-11 h, puis après on faisait ou un vin chaud, ou du café, on cassait une petite croûte et on dansait. Il y avait toujours quelque jeunesse qui jouait de l’accordéon… Il y avait un Chaliès d’Encan qui venait dans les veillées. Il jouait de l’accordéon et de la cabrette ; il avait un fils… Armand de Monnés et Alard aussi… Ils chantaient et on dansait parfois rien qu’en chantant quand il n’y avait pas d’instrument. Les contes ne se racontaient pas beaucoup à la veillée. » (Céline Calvet, 1898-1994)

La Maureliá de Camporiés, 1957

Photo

Deux hommes se chauffant au coin du feu (canton), à La Maurélie, 1957
© LAPORTE Jean (Campouriez)

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