Lo maridaire e lo trossèu

Collecté en 1996 par IOA Sur les Communes de Brommat, Taussac Voir sur la carte
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Introduction

La jeunesse se rencontrait en diverses circonstances et notamment lors des veillées et des fêtes mais aussi, dans une société très christianisée, lors des cérémonies religieuses et des réunions de famille (baptêmes, mariages…).

Parfois, les rencontres avaient lieu grâce à l’intervention d’un pachelaire, patelon ou maridaire. Dans certaines régions, les mariés (nòvis, maridats) offraient ensuite un chapeau (capèl) au marieur.

La mariée (nòvia) amenait parfois son trousseau dans un coffre ouvragé (còfre novial).

Ethnotexte

Joseph BASTIDE

né en 1913 à Brommat.

Transcription

Occitan
Français
« Les maridatges, a l’epòca, aquò se fasiá sovent entre vesins o atau, als environs. Arribava sovent que una persona se'n ocupava un pèu.
La filha fasiá lo trossèu. Començava de brodar les lençòus ambe sas initiales.Aquelses que avián les moiens fasián un trossèu per la filha. »

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