Les remèdis ancians

Collecté en 1996 par IOA Sur les Communes de Brommat, Taussac Voir sur la carte
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Introduction

Face à la maladie, les anciens disposaient d’un ensemble de remèdes empiriques dont certains devaient être d’une efficacité toute relative si l’on en juge par l’important taux de mortalité.

Dans un contexte économique difficile, on n'appelait le médecin qu’en dernier recours.

La peau ou la chair des serpents (sèrps) était souvent utilisée pour lutter contre une multitude de pathologies, notamment les douleurs abdominales ou les maladies de peau.

De plus, on avait au jardin les plantes médicinales de première nécessité : lys blanc, menthe, arnica, millepertuis…

On faisait même boire au malade l'urine d'une personne bien-portante.

Ethnotexte

Joseph BASTIDE

né en 1913 à Brommat.

Transcription

Occitan
Français
« Me rapèle que i aviá pas qu’un medecin que veniá a chaval mès, quand veniá, lo monde èran presque mòrts…
Quand avián un mau de ventre, a l’epòca, fasián de bolhon de sèrp. N’i aviá totjorn dins l’ostau de secas.
Assajavan un pèu de tot. Bevián mème d’urina de una persona qu’èra en bona santat.
Bèlcòp de tisanas atanben. 
Dins los vilatges n’i aviá totjorn un que i coneissiá mai que les autres. »

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