Las sangsugas pel mau de cap

Collecté en 1996 par IOA Sur les Communes de Brommat, Mur-de-Barrez Voir sur la carte
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Introduction

Face à la maladie, les anciens disposaient d’un ensemble de remèdes empiriques dont certains devaient être d’une efficacité toute relative si l’on en juge par l’important taux de mortalité.

Dans un contexte économique difficile, on n'appelait le médecin qu’en dernier recours.

On avait au jardin les plantes médicinales de première nécessité : lys blanc, menthe, arnica, millepertuis…

Le recours aux sangsues (sangsugas) était courant.

Ethnotexte

Marie SÉBASTIEN

née Laqueilhe en 1920 à Longanhac de Mur de Barrez.

Transcription

Occitan
Français
« Quand quauqu’un aviá mau al cap, metián de sangsugas per tirar lo sang. Cada jorn, li aviá una femna que veniá metre las sangsugas.
Pièi, i aviá lo tè sauvatge e la menta, bèlcòp de menta. »

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