Introduction
Face à la maladie, les anciens disposaient d’un ensemble de remèdes empiriques dont certains devaient être d’une efficacité toute relative si l’on en juge par l’important taux de mortalité.
Dans un contexte économique difficile, on n'appelait le médecin qu’en dernier recours.
On avait au jardin les plantes médicinales de première nécessité : lys blanc, menthe, arnica, millepertuis…
On faisait aussi souvent appel à des guérisseurs.
L’ail (alh) était utilisé comme vermifuge. On confectionnait un collier d'ail aux enfants au moment de la lune nouvelle.
Ethnotexte
Jeanine LAMBERT
née Barthes en 1933 à Boussac.
Transcription
Occitan
Français
« Pels vèrms, metián un colièr d’alhs al còl. »
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