Introduction
Lorsqu’un veuf (viuse) ou une veuve (viusa) se remariait, on organisait de bruyants charivaris (caravalins, carvalins, carivaris…).
Cette tradition offensante avait pour but de faire entendre le désaccord supposé du défunt ou de la défunte.
Des chansons étaient parfois écrites pour la circonstance.
Vidéo
© Institut occitan de l'Aveyron - Réalisation Amic BEDEL
Adrien AURÉJAC
né en 1936 à Riou Nègre de Bournazel.
Transcription
Occitan
Français
« Quand i aviá un viuse que se tornava maridar, fasiam lo carivari, pendent tres o quatre jorns abans fasiam lo carivari, ambe de campanas, ambe que que sia(g)a per far de bruch. De còps nos pagavan un còp a biure maites còps pas res de tot. »
Le charivari
« Quand il y avait un veuf qui se remariait, nous faisions le charivari, pendant trois ou quatre jours avant nous faisions le charivari, avec des cloches, avec n’importe quoi pour faire du bruit. Parfois ils nous payaient un coup à boire d’autres fois rien du tout. »
« Quand il y avait un veuf qui se remariait, nous faisions le charivari, pendant trois ou quatre jours avant nous faisions le charivari, avec des cloches, avec n’importe quoi pour faire du bruit. Parfois ils nous payaient un coup à boire d’autres fois rien du tout. »
Localisation
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