Per un mal de costat
Introduction
Face à la maladie, les anciens disposaient d’un ensemble de remèdes empiriques dont certains devaient être d’une efficacité toute relative si l’on en juge par l’important taux de mortalité.
Dans un contexte économique difficile, on n'appelait le médecin qu’en dernier recours.
On avait au jardin les plantes médicinales de première nécessité : lys blanc, menthe, arnica, millepertuis…
On faisait aussi souvent appel à des guérisseurs.
Pour soigner une congestion (mal de costat) on préparait de la tisane de suie (suja).
Ethnotexte
André PUECH
né en 1924 à Fénayrols de Baraqueville.
Transcription
Occitan
Français
« La suja fasiá pel mal de costat, en tisana. »
Pas de traduction pour le moment.
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