Pels vèrms e per un mal de costat

Collecté en 1998 par IOA Sur les Communes de Baraqueville, Cabanès, Calmont, Moyrazès, Rodez, Salmiech Voir sur la carte
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Introduction

Face à la maladie, les anciens disposaient d’un ensemble de remèdes empiriques dont certains devaient être d’une efficacité toute relative si l’on en juge par l’important taux de mortalité. 

Dans un contexte économique difficile, on n'appelait le médecin qu’en dernier recours.

On avait au jardin les plantes médicinales de première nécessité : lys blanc, menthe, arnica, millepertuis… 

On faisait aussi souvent appel à des guérisseurs.

L’ail (alh) était utilisé comme vermifuge. On confectionnait un collier d'ail aux enfants au moment de la lune nouvelle.

Pour soigner une pleurésie (mal de costat) ou en cas de méningite (mal cuc), il existait un remède barbare consistant à ouvrir un chat (crup) ou un pigeon vivant pour le poser sur le corps du malade.

Ethnotexte

Foyer logement (reunion 2) BARAQUEVILLE

Jean BARRÈS, né en 1937 à La Garrigue de Cabanès ; Albanie JEAN, née Calviac en 1909 à Carcenac-Salmiech ; Noël MASVIEL, né en 1911 à Vors ; Aline MOUYSSET, née Bouscayrol en 1921 à Ségonzac ; Gaston REY, né en 1906 à La Plane de Baraqueville ; Charles SERIEYS, né en 1924 à Rodez ; Rachel VIAROUGE, née Delsol en 1920 à Moyrazès.

Transcription

Occitan
Français

« Pels vèrms dels dròlles, metián un gran d’encens dins lo cròi de l’estomac. Quand lo gran d’encens tombava i aviá pas pus de vèrms. O alara lor metián un colièr d’alhs al torn del còl o lor balhavan d’ai(g)a salada. »


« Prenián un cat, un crup tot dubèrt, la pèl e tot, e lo metián sul costat, lo cap veniá tot violet e lo tipe èra garit. »

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