Introduction
Face à la maladie, les anciens disposaient d’un ensemble de remèdes empiriques dont certains devaient être d’une efficacité toute relative si l’on en juge par l’important taux de mortalité.
Dans un contexte économique difficile, on n'appelait le médecin qu’en dernier recours.
On avait au jardin les plantes médicinales de première nécessité : lys blanc, menthe, arnica, millepertuis…
On faisait aussi souvent appel à des guérisseurs.
Ethnotexte
MARUÉJOULS PAUL ET BOUSQUET ROGER
nés en 1915 à Carcenac-Peyralès de Baraqueville.
Transcription
Occitan
Français
« Alexandre fasiá un remèdi pels uèlhs, d’ai(g)a de Glessandra. Fasiá de pichons flacons ambe sai pas de qué. Aquò’s coma la Barressa que fasiá un remèdi ambe de flor de saüt pel paludisme. »
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