Introduction
Face à la maladie, les anciens disposaient d’un ensemble de remèdes empiriques dont certains devaient être d’une efficacité toute relative si l’on en juge par l’important taux de mortalité.
Dans un contexte économique difficile, on n'appelait le médecin qu’en dernier recours.
On avait au jardin les plantes médicinales de première nécessité : lys blanc (liri), menthe, arnica, millepertuis…
Vidéo
© Institut occitan de l'Aveyron - Réalisation Amic BEDEL
Albert PETIT
né en 1924 à Vieurals d'Aurelle-Verlac.
Transcription
Occitan
Français
« Un còp èra, dins cada ostal, aviam de fuèlhas, de fuèlhas de lis blanc que metiam macerar dins un bocal ambe d'ai(g)ardent e pièi après, quand atapàvem un pic, enfin un pic o una plaga, las metiam sus la plaga e aquò fasiá cicatrizar la plaga. E aquò's totjorn estat. »
Les feuilles de lys
« Autrefois, dans chaque maison, nous avions des feuilles, des feuilles de lys blanc que nous mettions à macérer dans un bocal avec de l’eau-de-vie et puis ensuite, quand nous prenions un coup, enfin un coup ou une plaie, nous les mettions sur la plaie et ça faisait cicatriser la plaie. Ça a toujours été comme ça. »
« Autrefois, dans chaque maison, nous avions des feuilles, des feuilles de lys blanc que nous mettions à macérer dans un bocal avec de l’eau-de-vie et puis ensuite, quand nous prenions un coup, enfin un coup ou une plaie, nous les mettions sur la plaie et ça faisait cicatriser la plaie. Ça a toujours été comme ça. »
Localisation
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