Lo missant sòrt
Introduction
Dans tous les pays et à toutes les époques, les jeteurs de sorts et autres emmascaires, empatufaires ou devinhaires ont fait partie de la sociabilité locale.
Il existait plusieurs techniques pour se protéger des sorciers : porter un vêtement à l'envers, faire cuire des clous, frapper un mannequin représentant le jeteur de sorts, réciter une formule, porter plusieurs couvre-chefs à la fois…
Vidéo
© Institut occitan de l'Aveyron - Réalisation Amic BEDEL
Lucette et René BARTHE
née Lacombe en 1932 à Decazeville, décédée en 2024 ; né en 1930 à Aubin.
Transcription
Occitan
Français
« Aviái una tanta a Firmin se levava la nuèch e disiá a son òme que i aviá… Caliá que anèssa a la font del Piu, que la demandavan et voilà. Cada nuèch se levava, anava… Veniá falorda parce que… Èra ensorcelada, o se disiá mès… Jamai èra pas bien normala, quoi, aquò l'aviá desturbelada. »
Le mauvais sort
« J’avais une tante à Firmi qui se levait la nuit et qui disait à son mari qu’il y avait... Il fallait qu’elle aille à La Font du Pieu, parce qu’ils la demandaient et voilà. Chaque nuit elle se levait, elle allait... Elle devenait folle parce que... Elle était ensorcelée, elle se le disait mais... Elle n’était jamais tout à fait normale, quoi, ça l’avait rendue folle. »
« J’avais une tante à Firmi qui se levait la nuit et qui disait à son mari qu’il y avait... Il fallait qu’elle aille à La Font du Pieu, parce qu’ils la demandaient et voilà. Chaque nuit elle se levait, elle allait... Elle devenait folle parce que... Elle était ensorcelée, elle se le disait mais... Elle n’était jamais tout à fait normale, quoi, ça l’avait rendue folle. »
Localisation
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